Actualités
Les Séances coups de coeur en avant-première
La direction du FIFFH a fait le choix cette année d’élargir encore un peu plus le nombre de films en compétition, en passant de cinq à six, signe de la qualité de la production des courts métrages historiques, en France comme à l’international. Le FIFFH explore cette année explorer des filmographies peu accessibles en France, à travers l’Irlande (Wrecker, de Martina McGlynn) ou la Nouvelle-Zélande (First Horse, de Awanui Simich-Pene, pour la première fois projeté en France). Le cinéma d’animation est également à l’honneur avec le canadien La Petite ancêtre (Alexia Tremblay-Francoeur), et sa « maison-personnage ».
La création française n’est pas en reste avec des films de jeunes réalisateurs portés par des acteurs reconnus (Patrick Chesnais dans Le Jour où le Titanic a coulé de Pierre-Yves Bezat ou Félix Lefebvre et John Robinson dans Dans la boue de Andy Buron). Preuve que la valeur n’attend pas le nombre des années, le film de Sören Brûlé, Vespérales, réalisé dans le cadre de ses études à l’ENSAV (école audiovisuelle toulousaine), qui affirme encore un peu plus notre volonté de promouvoir les jeunes artistes locaux ou internationaux et de mêler dans un souci d’éclectisme et d’exigence les créations les plus diverses.
Le public pourra découvrir cette sélection le samedi 27 septembre à 14h30, sans concurrence de long-métrage sur le même créneau, et ainsi visionner des films rares, parfois étonnants, toujours passionnants.
La séance sera accompagnée d’un film hors-compétition, Il faudra que je me souvienne (Sébastien Nourian), qui bouscule les attendus du film de commande, en tournant au camp des Milles une fiction à mi-chemin entre Histoire et onirisme.